Diane aime « les belles et les bonnes choses » depuis toujours, et porte des convictions écoresponsables tant dans sa vie personnelle que professionnelle.
Elle lance notamment il y a déjà 15 ans la démarche développement durable (l’ancêtre de la RSE) chez Valrhona, référence internationale du chocolat d’exception pour les chefs, en plus de sa fonction au sein de leur Fondation. Après 20 ans au sein de grands groupes, puis une activité de consulting en Suisse, Diane continue sur la route de l’écoresponsabilité et fonde en 2021 avec son associée Émilie Sibut l’aventure Madame Ze French, une société à mission qui cherche non seulement à « insuffler le bon goût responsable » mais aussi à agir concrètement.

« Un projet qui porte mes convictions et toute ma sensibilité. « 

Madame Ze French, c’est une offre de produits et de services pour des acteurs dans le monde de la pâtisserie et de la gastronomie, chefs ou artisans. Ce sont des conseils en projets écostylés, sur-mesure, pour intégrer de la désirabilité dans la durabilité, ou de la durabilité dans la désirabilité.

« Mon mantra ? Le beau est beaucoup plus durable que le moche ! »

Madame Ze French, c’est aussi la BentOgatO, boîte à gâteaux réutilisable, lavable, 100% fabriquée en France. Une solution d’éco- emballage qui permet de répondre aux enjeux antigaspillage : depuis les préoccupations des consommateurs, aux contraintes des professionnels liées aux coûts des consommables jetables, en passant par les exigences de la loi AGEC. La BentOgatO est même 100% personnalisable. Elle permet aux chefs ou artisans de démontrer leur engagement écoresponsable, faire des économies, et même fidéliser leurs clients finaux.

Deux ans après sa naissance, Madame Ze French compte déjà une équipe de quatre personnes et une trentaine de clients partout en France. Aujourd’hui, Diane cherche à encore accélérer le projet.

« L’adhésion au Club des Entrepreneurs arrive à point nommé pour l’accélération de Madame Ze French. J’ai besoin de bousculer, challenger ma stratégie et retrouver des relations humaines trop mises à mal ces dernières années avec le contexte sanitaire. »