Première étude sur l’auto-entrepreneuriat et l’indépendance au féminin

Les principaux enseignements de l’étude sur l’auto-entrepreneuriat au féminin

L’auto-entrepreneuriat représente les deux tiers du million de créations d’entreprise chaque année en France. Depuis sa mise en place il y a quinze ans, le régime de l’auto-entrepreneur a toujours attiré une grande proportion de femmes, presque la majorité et en tous cas largement plus que tous les autres statuts entrepreneuriaux.

Dans le cadre de son Observatoire, l’Union des Auto-Entrepreneurs et des Travailleurs Indépendants a mené, avec le soutien de la Fondation Le Roch-Les Mousquetaires, la première étude en France sur l’auto-entrepreneuriat et l’indépendance au féminin. Qualitative à partir de portraits femmes indépendantes, quantitative et ciblée sur leurs motivations et leurs interrogations.

Premier constat : les motivations des femmes pour le travail indépendant. Les femmes restent affectées dans leur rapport au travail salarié par un milieu professionnel qui peut encore les stigmatiser. 35% expriment leur mauvaise expérience salariée.

Second constat : l’équilibre vie professionnelle et vie personnelle.

Troisième constat : l’importance déterminante de la confiance en soi. 66 % disent avoir vécu des situations de « syndrome de l’imposteur » alors que seulement 3 % affirment avoir pleinement confiance en elles.

Quatrième constat : le manque de soutien aux indépendantes. 79 % des femmes indépendantes avec des enfants en bas âge expriment avoir rencontré des difficultés de garde.

Cinquième constat : l’accès au logement Pour 44 % d’entre elles, la qualité d’indépendantes a compliqué leur accès au logement et pour 38 % leur accès au crédit bancaire.

Pour Maryvone LE ROCH-NOCERA, Présidente de la Fondation Le Roch-Les Mousquetaires :  

« Cette étude invite à une prise de conscience collective sur le potentiel transformateur de l’auto-

entrepreneuriat, non seulement pour les femmes elles-mêmes, mais aussi pour l’économie et la société dans son ensemble. »

Découvrez l’étude complète ici 

L’auto-entrepreneuriat représente les deux tiers du million de créations d’entreprise chaque année en France. Depuis sa mise en place il y a quinze ans, le régime de l’auto-entrepreneur a toujours attiré une grande proportion de femmes, presque la majorité et en tous cas largement plus que tous les autres statuts entrepreneuriaux.

Dans le cadre de son Observatoire, l’Union des Auto-Entrepreneurs et des Travailleurs Indépendants a mené, avec le soutien de la Fondation Le Roch-Les Mousquetaires, la première étude en France sur l’auto-entrepreneuriat et l’indépendance au féminin. Qualitative à partir de portraits femmes indépendantes, quantitative et ciblée sur leurs motivations et leurs interrogations.

Premier constat : les motivations des femmes pour le travail indépendant. Les femmes restent affectées dans leur rapport au travail salarié par un milieu professionnel qui peut encore les stigmatiser. 35% expriment leur mauvaise expérience salariée.

Second constat : l’équilibre vie professionnelle et vie personnelle.

Troisième constat : l’importance déterminante de la confiance en soi. 66 % disent avoir vécu des situations de « syndrome de l’imposteur » alors que seulement 3 % affirment avoir pleinement confiance en elles.

Quatrième constat : le manque de soutien aux indépendantes. 79 % des femmes indépendantes avec des enfants en bas âge expriment avoir rencontré des difficultés de garde.

Cinquième constat : l’accès au logement Pour 44 % d’entre elles, la qualité d’indépendantes a compliqué leur accès au logement et pour 38 % leur accès au crédit bancaire.

Pour Maryvone LE ROCH-NOCERA, Présidente de la Fondation Le Roch-Les Mousquetaires :  

« Cette étude invite à une prise de conscience collective sur le potentiel transformateur de l’auto-

entrepreneuriat, non seulement pour les femmes elles-mêmes, mais aussi pour l’économie et la société dans son ensemble. »

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Parc de Tréville- 91 Bondoufle, France

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